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Nous demandons le Respect des Droits Humains :

article 25 pour les personnes en situation de précarité et précarité extrême.
La loi est écrite pour TOUS et quand une personne est privée de travail, elle ne doit pas être  privée de ses Droits Humains et mise en danger. De plus, elle est censée avoir Droit à une parole.

 



L’Etat est garant de l’application de la Loi pour TOUS et garant du Respect des Droits Humains, mais l’Europe  aussi,  a un droit de regard sur ce que décident les pays de la l'Union.


Or, depuis qu'a été décidé de renommer le RMI en RSA, les personnes concernées sont susceptibles de se voir couper tout moyen de survie ; ce, du jour au lendemain, par le simple pouvoir d’un agent social ou des élus locaux, qui deviennent alors tout-puissants face à la  fragilité économique des ces êtres et de l'infini isolement qui en découle.
Il n’est pas tolérable au plan intellectuel et encore moins au plan humain, qu’un sujet, quels que soient son mérite, son origine ou sa qualité, puisse être à la merci d’un agent local en ce qui concerne son Droit à la survie. Il en  va de même pour le Droit au Logement dans la propreté et la sécurité nécessaires,  tous deux, à la survie d’un humain.
S’il était besoin, des millions de témoignages  montreraient à quel point un timbre manquant, un malentendu, un abus de pouvoir, peuvent lui coûter la vie.

 

Tout ceci est une atteinte extrêmement grave à l’intégrité des gens qui souffrent d’être mis aux bans de la société  par la privation de travail salarié et l'absence de pouvoir d'achat.
Ils ne peuvent plus se suffire à  eux-mêmes; la société ne veut plus les voir ; souvent, la famille et les amis les ignorent et leur seul interlocuteur reste un agent qui les tient par son pouvoir absolu dans un strident huis-clos.

​Ceci est inhumain et dégradant.

Nous demandons par notre pétition le rétablissement du RSA socle avec interdiction de le supprimer, de le saisir, de le suspendre ou de le lier à un chantage, comme aujourd'hui

Tel qu'institué dans sa première mouture.

Après quoi, nous demanderons que son montant soit adapté à plusieurs jours de survie dans le  mois.



Le Droit n’est pas une faveur faite à un sujet. ​

C’est juste le Droit              pour TOUS.

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